Thanks to the Internet, trade has never been easier. The ability to trade goods and services online has helped companies large and small to reach a global marketplace. And the web has also enabled another important cross-border transaction: the free flow of information without restriction.
This month, yet another country acknowledged the importance of having a consistent framework for cross-border flows of goods, services, and information. Mauritius is the first African country to sign a joint agreement with the U.S. that supports government transparency, open Internet networks, and cross-border information flows.
This agreement has significant implications for Mauritius’ economy. While South Africa hasn’t yet fully embraced the Internet, the sector already contributes up to 2 percent (or $7.1 billion/R59-billion) of the country’s GDP, according to a recent report by World Wide Worx. As the Internet grows, countries that are open to the free flow of goods and information will enable their businesses to trade, negotiate and advertise freely. In the long run, these solid business practices will lead to more exports and more jobs.
We encourage more governments and industries to take action so that their citizens have access to the Internet and their businesses are able to sell goods and services across borders, with the help of the Internet.
Posted by Winter Casey, Senior Policy Analyst, Google
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Soutenir l'économie numérique à Maurice
Grâce à Internet, le commerce n'a jamais été aussi facile. La possibilité de vendre des marchandises et des services en ligne a permis aux petites comme aux grandes entreprises de toucher un marché mondial. Le Web permet également d'autres échanges internationaux importants : la libre circulation de l'information sans restriction.
Ce mois-ci, un autre pays a décidé de se doter d'un cadre autorisant la circulation des marchandises, des services et de l'information à l'international. L'île Maurice est le premier pays africain à signer un accord commun avec les États-Unis pour promouvoir la transparence gouvernementale, l'ouverture des réseaux Internet et la circulation transfrontalière de l'information.
Cet accord a des conséquences importantes pour l'économie mauricienne. Bien que l'Afrique du Sud n'ait pas encore complètement adopté Internet, ce secteur représente d'ores et déjà 2 % (soit 7,1 milliards $/ 59 milliards R) du PIB de ce pays selon un rapport publié dernièrement par World Wide Worx. Grâce au développement d'Internet, les pays favorables à la libre circulation des marchandises et de l'information permettront à leurs entreprises de commercer, de négocier et de faire de la publicité librement. À long terme, ces pratiques commerciales solides se traduiront par une augmentation des exportations et des créations d'emplois.
Nous encourageons les gouvernements et les industries à agir afin que leurs citoyens aient accès à Internet et que leurs entreprises soient en capacité de vendre des marchandises et des services au-delà des frontières, grâce à Internet.
Posté par Winter Casey, Analyste politique en chef, Google